L’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier un rapport au contenu inquiétant à propos des pilules contraceptives. Ces dernières sont à l’origine de 20 décès par ans et de 2.529 accidents vasculaires chez les femmes.
Le Comparatif Mutuelle fait la lumière sur cette affaire. Il explique aussi pourquoi il est nécessaire d’utiliser d’autres contraceptifs qui sont remboursables par les mutuelles à l’exemple de CEGEMA Mutuelle.
Une plainte à l’origine du scandale des pilules tueuses
Tout commence en décembre 2012, quand Marion Larat impute son accident vasculaire cérébral (AVC) à la prise des pilules de troisième génération. La victime porte plainte à l’encontre du fabricant. Suite à cela, des enquêtes sont ouvertes dont celle de l’ANSM.Au final, l’agence nationale de sécurité du médicament précise dans son rapport que les consommatrices de pilules de première et deuxième générations « ont un risque d'accident thromboembolique veineux multiplié par deux ». Le risque est doublé avec les pilules de troisième et quatrième générations.
Toutefois, les données révélées par l’ANSM semblent conformes aux données des RCP (résumés des caractéristiques des produits) destinés aux professionnels de santé permettant aux laboratoires de mettre les médicaments sur le marché. Ainsi, les risques sont connus par les producteurs de la pilule et l’ensemble des médecins en France.
Pour éviter les risques que présente la pilule, il est judicieux d’utiliser un autre contraceptif remboursable par les couvertures santé telle que Alptis , Swiss Life, l’Association ASAF , etc.
L’utilisation d’autres contraceptifs et leurs remboursements
Le rapport de l’ANSM préconise de diminuer l’utilisation des pilules, notamment de troisième et quatrièmes génération, pour les relayer à une « utilisation en seconde intention ». Une baisse de 34% dans l’utilisation de la pilule est constatée entre février 2012 et février 2013 au bénéfice des contraceptifs plus ancien (26,5% d’augmentation). Cela « confirment que les médecins ont modifié leurs prescriptions » bien avant l’apparition du rapport.Les contraceptifs à l’exemple du stérilet, diaphragme, etc. sont plus sûr et moins nocifs pour la santé. Mais, ils restent relativement chers. Pour cela, des compagnies comme la mutuelle MAAF , et ses concurrentes proposent de plus en plus leur remboursement. De leur coté, Mutuelles-Comparateur.fr et son partenaire
« Mutuelle Moins Chère » proposent de comparer leurs formules pour choisir la plus fiable.
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