Bain pour les bébés : comment éviter les dermatoses juvéniles ?

Le bain pour bébés doit être convenablement exécuté pour prémunir le nouveau né des maladies cutanées et faire de la toilette un moment privilégié.

Découvrez nos 7 conseils essentiels pour assurer un bain de confort pour votre bébé.

Bain pour les bébés : comment procéder pour prévenir les maladies cutanées ?

Selon les pédiatres et des puéricultrices, il est recommandé de :

• laver les paries intime du nouveau né à l'eau courante lors de chaque changement de couche
• limiter l’utilisation du savon au bain complet et lors qu’il y a des matières fécales collantes à éliminer
• veiller à ne pas laver le nombril si le cordon ombilical n'est pas encore tombé
• commencer par laver le ventre et l'avant du corps puis le dos et les fesses
• nettoyer la tête à l’aide d’une éponge naturelle trempée et essorée, afin que l'eau ne n’infiltre pas dans les yeux, les oreilles et la bouche.
• hydrater avec une huile naturelle les croûtes de lait qui apparaissent sur le cuir chevelu avant de les enlever avec une éponge
• tester les produits l'hygiène sur une petite partie de la peau du bébé avant une utilisation plus généralisée

Une fois le bain terminé, il est primordiale d’essuyer délicatement la totalité du corps du bébé. Ceci permet de réduire l’humidité, premier ennemi de la peau du bébé et de ne pas irriter cette dernière.

Bain pour les bébés : quelles sont les précautions à prendre contre les accidents ?

Le premier bain du bébé peut être fait dès que le cordon ombilical est tombé. Ce dernier est généralement perdu dans les premiers jours de la vie, parfois avant même la sortie de l'hôpital.

Pour profiter pleinement de se moment intime avec leurs enfant sans aucun risque d’accident ou de maladie, les parent doivent adopter certaines précautions comme :

• préchauffer la pièce où le bébé est baigné. La température ambiante ne doit jamais être inférieure à 20 degrés.
• vérifier la température de l'eau avec un thermomètre de bain : cette dernière ne doit pas être trop chaud ni trop froid. Les puéricultrices recommandent que la température de l’eau soit similaire à celle du corps.  
• utiliser un bac exclusivement dédié à baigner le bébé : ce bassinet doit être en matière plastique facilement nettoyable et il faut prendre la précaution de bien le laver après chaque usage
• maintenir la tête et le cou droits et hors de l’eau
• privilégier les produits l'hygiène des pour bébé à base d’ingrédients naturels
• éviter d’utiliser directement sur la peau du nourrisson les agents nettoyants : il est préférable de mettre une petite quantité dans l'eau et de laver l’enfant en utilisant les mains et une éponge naturelle

Ces précautions permettent d’éviter les accidents et réduisent les risques de maladies pédiatriques.

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Remboursement des arrêts maladie : Profitez de vos indemnités journalières

Plusieurs questions font leurs apparitions après un accident ou un arrêt de travail. Seulement, rassurez-vous. l’assurance maladie a prévu des indemnités journalières pour chaque cas et profil.

Versées toutes les 2 semaines, comme remboursement aux arrêts maladies (les manques enregistrés sur la paye), les sommes se calculent sur la base des derniers salaires perçus. Les montants dépendent de plusieurs critères à savoir la nature de l’atteinte (professionnelle ou non), la durée de l’arrêt de travail, le nombre d’enfants à charge.

Le Blog vous présente comment déterminer vos montants d’indemnités journalières prévues et met à votre disposition en partenariat avec le comparateur « Mutuelledassurance.net » un outil simple pour réaliser des devis gratuits en ligne.

Remboursement des arrêts maladie : Quels sont les accidents du travail, les maladies professionnelles concernées et les indemnisations prévues?

Le régime obligatoire garantit à ses assurés sociaux le droit de bénéficier de remboursement des arrêts maladies sous forme d’indemnisations journalières en cas d'accident de travail ou de maladie professionnelle :

• l’accident de travail : cet imprévu concerne les troubles psychologiques et les atteintes physiques comme les affections nosocomiales, les fractures osseuses, etc.
• une maladie professionnelle : ces atteintes sont classées selon leurs origines et englobent la lombalgie d'effort, l’anémie par intoxication au plomb, les atteintes respiratoires, etc.

La rémunération de l’arrêt de travail consécutif à l’un de ces aléas correspond à :

Taux de remboursement des arrêts maladie en fonction de la durée d’arrêt de travail

Les indemnités journalières de la sécurité sociale (IJSS) sont revalorisées en fonction du nombre de jours de congé maladie. Elles sont soumises à l'impôt sur le revenu et peuvent être cumulées avec d’autres avantages comme la pension d'invalidité, les congés payés, les primes de maintient de salaire, etc.

L'arrêt maladies est aussi remboursé par l'Assurance Maladie aux chômeurs pour compenser la perte des allocations sociales. Dans ce cas, l’indemnité pour les journées de maladie est calculée à partir de la moyenne des salaires bruts des trois ou douze mois avant la perte de l’emploi.

Remboursement arrêts maladie : Quelles sont les indemnisations en cas de maladie non professionnelle ?

En cas de maladie suivie par une interruption de travail, la sécurité sociale accorde à ses affiliés, à partir du troisième jour de repos, le paiement d’une indemnité maladie égale à la moitié du salaire journalier de base. Ce pourcentage est reporté à 66,66% à partir de 31 jours d'arrêt justifié.

Le remboursement d’arrêt maladie par la cpam est plafonné selon le nombre des enfants à charge :  

Montants journaliers des remboursements des arrêts maladie en fonction du nombre d'enfants à charge

Pour compléter l’éventuelle perte de salaire, les montants des indemnités pour congé justifié par une maladie augmentent avec le nombre des mineurs sous la tutelle de l’assuré sociale. 

La durée des indemnisations pour une maladie ordinaire est limitée à 360 jours au cours de 3 années consécutives. C’est le cas pour : 

• Les affections respiratoires saisonnières : bronchite, toux
• Les atteintes digestives : gastroentérite, crise de foi
• Les affections bucco-dentaires: aphtes, muguet des bébés
• Les pathologies de la sphère ORL : sinusite, Angine de la gorge
• Les atteintes oculaires : orgelet, conjonctivite
• Les troubles musculo-squelettiques : fractures osseuses, torticolis, douleurs musculaires

Par contre en cas d’affections de longue durée (ALD) telles que l’insuffisance cardiaque grave, la scoliose, la mucoviscidose, etc., le délai d’indemnisation pour maladie est prolongé de 3 ans si l'assuré a repris son travail pendant au moins un an sans interruption.

Les indemnités journalières hors maladies professionnelles sont cumulables avec d’autres avantages financiers consentis par la sécurité sociale.

Munissez-vous d'une couverture santé complémentaire,  pas chère et efficace pour améliorer la prise en charge de vos frais de santé.

Remboursement maladie : obligations du salarié et sanctions en cas de fraude

Pour profiter du remboursement des arrêts maladies le salarié est prier de :

• respecter le délai d’information
• suivre les prescriptions thérapeutiques de son médecin
• coopérer aux contrôles et aux contrevisites organisés par son employeur ou l'assurance maladie 
• respecter les heures de sorties autorisées par le praticien (sorties libres,  sorties pour soins ou examens médicaux)
• séjourner exclusivement dans son département de résidence

Les contrevenants à ces conditions s’exposent à :

• des pénalités financières: rembourser les sommes perçues et les intérêts
• des sanctions pénales : payer des amendes et subir des peines carcérales
• des répercutions administratives : reprise des fonctions et pénalité disciplinaires

Ces dispositions visent à lutter contre la fraude à l'arrêt de travail qui coute à l’assurance maladie plus de 150 millions d'euros par an.

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Ostéopathe : les applications insoupçonnées des thérapies alternatives

L’ostéopathie est une approche thérapeutique basée sur des manipulations manuelles du système musculo-squelettique capable de soulager de nombreux troubles fonctionnels.
Cette technique de médecine douce est très semblable à d’autres méthodes physiologiques comme la kinésithérapie et à la massothérapie.


Avant d'entamer une telle thérapie, il est recommandé de consulter un rhumatologue pour choisir entre l’ostéopathe et le chiropracteur.  

Ostéopathe : les techniques thérapeutiques de

L’ostéopathie aborde le corps humains dans sa globalité et considère l’atteinte de l’un de ses organes entraîne des perturbations sur l’ensemble des autres parties. L’ostéopathe va user de certaines techniques pour rétablir l’harmonie de l’organisme parmi les quelles :

• techniques fonctionnelles : elles permettent de mobiliser les tissus (muscles, articulations, membranes, etc.) pour induire un état de relâchement suffisant pour permettre l'autogérison de l’atteinte 
• techniques crânio-sacrée : dédiées aux traitements du crâne, des vertèbres, du sacrum et des tissus liés.    
• techniques viscérale : elles visent à améliorer la mobilité des organes pour en restaurer la physiologie, libérer la vascularisation et restaurer le bon fonctionnement.
• techniques structurelles : des manipulations en douceur permettent d’identifier et corriger les tensions et limitations mécaniques douleurs aux niveaux des articulations, muscles, ligaments et les fascias du corps
• techniques fasciales : elles concernent les veines, les artères et les nerfs qui apportent aux organes  les éléments nutritifs et informationnels essentiels à leur fonctionnement

Ainsi, l’ostéopathe peut s'effectuer par le biais de cette large variété de techniques une action globale sur tout le corps et traiter des troubles aussi bien physiques que psychologiques.

Ostéopathie : les domaines d’applications insoupçonnées du rééquilibrage fonctionnel

L’ostéopathie est l'une des branches de médecine naturelles aux potentiels thérapeutiques immenses.  Son champ d'application s’étend aussi bien aux troubles de la colonne vertébrale (sciatique, torticolis, scoliose) qu’aux  problèmes de :

• migraines et maux de tète
• troubles de la sphère O.R.L : otites, sinusites
• douleurs articulaires : lombalgies, cervicalgies, entorses,
• troubles digestifs : constipation, diarrhée, brulures d’estomac
• douleurs aux tissus mous suite à un choc, une foulure,
• perturbations du sommeil
• stress, manque de concentration, hyperactivité
• mauvaise circulation : jambes lourdes, hémorroïdes

L’ostéopathie a aussi un avantage préventif important pour prévenir la perte d’autonomie chez les séniors ou les accidents musculaire chez les sportifs.
Par contre, l’ostéopathie est peu indiquée voire même nuisible dans le cas de :

• arthrite rhumatoïde
• infections des articulations
• hernie discale avec fuite du noyau

Alors consulter votre médecin traitant pour mieux vous aiguiller vers les meilleurs soins.

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Moustiques tigres en France : attention à la propagation des arbovirus

Les moustiques tigres sont originaires d’Asie. Par la suite, ces suceuses de sang sont introduites en Afrique au début d’années 90 avant de faire leur apparition en Corse et dans le sud de la France.

Ces insectes véhiculent de nombreux virus virulent d’infections telles que la Dengue, le Chikungunya et le Zika.

Ces arbovirus englobent aussi des agents pathogènes transmis par les tiques à l’origine de maladies telles que la Borréliose et l’encéphalite à tiques.

Moustiques tigre : de nouveaux virus véhiculés dans le sud de la France

Les moustiques tigres,  reconnaissables grâce à leurs rayures noires et blanches, sont capables de transmettre à l’homme de nombreux virus. Ces insectes sévissent actuellement dans 18 départements de France métropolitaine en plus d’avoir déjà été observés dans 11 autres.

Les régions les plus touchés sont :

• Languedoc-Roussillon 
• Midi-Pyrénées 
• Rhône-Alpes 
• Aquitaine 

Les virus transmissibles par les moustiques tigres provoquent après la période d’incubation :

• fièvre élevée
• maux de tête 
• conjonctivite 
• éruptions cutanées diffuses
• arthralgies, myalgies 
• troubles gastriques (diarrhées dysenterie)  

Dès l’apparition de ces symptômes il est conseillé de consulter son médecin afin de bénéficier d’une prise en charge rapide de la maladie et éviter d’éventuelles complications.

Moustiques tigres : comment se protéger des sasseuses de sang

Les moustiques tigres peuvent gâcher tout une nuit de sommeil ou transformer les vacances en un véritable calvaire.

Plutôt que d'utiliser les insecticides, des crèmes et spray à base de produits chimiques voici quelques méthodes naturelles pour éloigner efficacement les moustiques :

• porter des vêtements qui permettent une bonne aération du corps et le couvre en totalité 
• se doucher fréquemment pour éliminer les odeurs de sudation ainsi que les bactéries cutanées ce qui empêche les moustiques de se repérer  
• dormir sous une moustiquaire ou en équiper les portes et les fenêtres de son logement 
• éviter les endroits où se trouvent de l’eau stagnante, des canalisations d’eaux usées ou les foyers déjà avérés des moustiques(les étangs, les marécages, etc.)
• entretenir les gouttières et en évacuer l’eau qui s’y accumule 
• débarrasser le jardin des objets qui peuvent retenir de l’eau (bâches, pots vides, etc.).
• éclaircir les massifs de plantes près des maisons 
• couvrir hermétiquement les puits et les collecteurs d’eau de pluie 
• utiliser dans sa chambre de l’encense anti-moustiques à base d’huiles essentiels d’eucalyptus, de citronnelle ou de basilic  

Ces gestes simples et efficaces préviennent des piqures de moustiques et aident à passer des nuits sereines.

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Tarifs des hôpitaux publics : de grandes disparités pour une même prestation

Les tarifs des hôpitaux publics varient énormément pour une même prestation.

En effet, la facture est plus ou moins lourde selon la structure publique sollicitée.


Déchargez-vous des tracs financiers quand aux frais de séjours en centre médicaux, optez pour une couverture médicale efficace avec le renforcement du poste hospitalisation.

Tarifs des hôpitaux publics : les écarts aux niveaux des restes à charge

Les tarifs des hôpitaux publics pratiqués pour le même acte médical affichent de grandes disparités et le reste à charge moyen serait de 500 euros sans les couvertures médicales qui le réduisent à seulement 26 euros. D’où l’inerte de prévoir une mutuelle santé performante à l’instar de SwissLife ou April

En effet, d’après les résultats de l’étude publiée par l'association "60 millions de consommateurs" les tarifs journaliers varient très fortement d'un hôpital public à l'autre, y compris pour des prestations et des durées de séjour identiques.

Par exemple, et en écartant les soins exonérés à 100% ou pour lesquels un forfait de 18 euros est appliqués, la facture moyenne de soins ambulatoires varie de 360 euros à 2 230 euros par jour.

Dans le secteur public, le patient ou sa complémentaire doit s'acquitter d'une somme qui représente 20% des coûts du soin ; c’est le ticket modérateur.

Or, les tarifs qui servent de base de calcul pour établir la part du patient sont définis de manière ambiguë d’où les honoraires variables au sein des hôpitaux publics.

Tarifs des hôpitaux publics : où payer moins chère ?

Les Tarifs des hôpitaux publics sont en moyenne de 817 euros. Par contre de grands écarts régionaux sont observés et une même prestation peut être facturée :

•    705 € à Vannes
•    814 € à Morlaix
• 1 130 € à Lorient,
• 1210 € à Carhaix et à Brest
• 1 241 € à Guingamp

La cause de ces disparités résultent des différences entre les tarifs journaliers de prestation établis après validation de l'Agence régionale de Santé suite à la proposition du directeur de l'établissement de santé, sans forcément de rapport avec le coût réel de production des soins.

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Médicaments génériques: les Français ont-ils confiance ?

Les médicaments génériques possèdent en France une bonne notoriété aux près des consommateurs. Ces produits pharmaceutiques aident à réduire considérablement les prix des ordonnances.
Nonobstant le type de médicaments prescrits, pensez à choisir une couverture santé efficace, afin de bénéficier de remboursements suffisants de vos frais médicaux.

Médicaments génériques: quels sont les avis de français ?

Les médicaments génériques ont le vent en poupe selon un sondage effectué auprès d’individus âgés de 18 ans et plus.

En effet, 60% des Français sont favorable à la prise de produits de substitution à la place du médicament princeps tandis que 12 % des personnes interrogées affirment que "cela dépend du médicament". Seuls 8 % des Français refusent de prendre ces pharmacopées lorsque le pharmacien le leur propose.

Avec une consommation moyenne de 95 € par an, ces frais médicaux plombe le budget familiale. Dans ce cas, une couverture médicale efficace comme celles proposées par Covea Risks ou Alptis est fortement conseillée pour réduire le reste à charge des frais de santé en cas de besoins.

Malgré le fait d’être classés parmi les plus grands consommateurs de produits pharmaceutiques en Europe,  nos concitoyens sont encore retissant à l’achat de médicaments sur internet. D'ailleurs le sondage montre que 74 % des usagers refusent cette pratique.

Du reste  78% d'entre eux demandent conseil à leur pharmacien lorsqu'elles ont besoin d'informations sur un médicament en vente libre.

Qu’est-ce qu’un médicament générique ?

Un médicament générique est une copie à celui d'une marque produit et vendu sous une dénomination commune internationale ou sous un nouveau nom commercial. Ainsi, le produit de substitution doit :  

• contenir le même principe actif
•  produire les mêmes effets sur l'organisme humain
• répondre aux mêmes critères d'efficacité

De même, la posologie, les indications et contre-indications et les effets secondaires sont les mêmes que pour le médicament originale.

En revanche, il peut parfois y avoir une différence dans les ingrédients non actifs ou  excipients utilisés lors de la fabrication. De même, il peut avoir de légères différences quant à la façon dont le médicament agit dans l’organisme. N’hésitez pas à en parler à votre médecin ou à votre pharmacien si vous sentez une différence.

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Bilharziose : plusieurs cas confirmés en Corse du Sud

Plusieurs cas de personnes contaminées par la bilharziose viennent d’être signalés par la Direction générale de la santé (DGS) et de l'Agence régionale de santé de la Corse.

Cette maladie parasitaire, due à un ver hématophage, cause de nombreux dégâts dans l’organisme et doit être traitée au plus vite.

Dans ce cas avoir une couverture santé efficace comme mutuelle SMAM ou April garantie une prise en charge optimale des dépenses médicales.

Bilharziose : où se trouvent les foyers de la maladie?

La bilharziose, aussi appelée « schistosomiase », semble concernée jusqu'à présent, des personnes qui se sont toutes baignées dans le Cavu, une rivière dans la Corse du sud.

En effet, les huit personnes diagnostiquées dans la région toulousaine, sont toutes d'anciens vacanciers ayant fréquenté un camping proche de la rivière concernée depuis l'été 2011.

Par ailleurs, en Allemagne, 5 autres cas ont été signalés  chez des touristes  qui ont séjourné dans la même région en 2013.

La bilharziose maladie endémique des zones tropicales et subtropicales, apparaît rarement dans les régions méditerranéennes.

Cependant, pour plus de sécurité, les personnes ayant eu un contact avec de l’eau douce naturelle en Corse à partir de l’été 2011 sont invitées à consulter leurs médecins pour un diagnostic de bilharziose ou à se soumettre à des examens parasitologiques des selles ou des urines afin de déceler la présence éventuelle de ver parasite ;  le schistosome.

Les frais de consultation et de laboratoires sont remboursés à des taux majorés par SwissLife ou AMIS.

Bilharziose : comment reconnaître la maladie ?

La bilharziose urinaire et intestinale se soigne efficacement si elle est diagnostiquée à temps. Parmi ses symptômes annonciateurs il y a :

• démangeaisons cutanés
• diarrhée intense
• fièvre élevée 
• fatigue chronique
• augmentation du volume du foie et de la rate
• douleurs abdominales diffuses
• inflammation de la vessie
• saignements urinaires

Il faut aussi rappeler que les deux formes cliniques de la bilharziose sont parfois asymptomatiques.
 

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Produits pour maigrir : attention aux compléments alimentaires amincissants

Certains produits pour maigrir rapidement sont à éviter tout comme les régimes express qui promettent de mincir miraculeusement la veille des vacances.

En effet, ces stratégies alimentaires risquent de causer de nombreux troubles de gravités variables.


Pensez à choisir une couverture santé efficace à l'instar de Covea Risks ou Alptis, afin de bénéficier de remboursements suffisants de vos frais médicaux.

Produits pour maigrir : quels sont les compléments alimentaires amincissants à éviter ?

De nombreux produits pour maigrir sont en vente libre. Cependant, il est essentiel d’utiliser ces produits avec une grande précaution.

En effet, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) vient de publier une alerte sur certains compléments alimentaires, et en particulier sur ceux qui renferment de la p-synéphrine.

Naturellement présent dans l’écorce d’orange amère, cet élément entre dans la composition de nombreuses denrées comme la confiture ou encore le jus de fruit.

Toutefois, un usage excessif de p-synéphrine (supérieur à 20 mg par jour) ou le fait de l’associer à de la caféine, devient problématique et peut provoquer des effets secondaires comme :

• des maux de tête
• des troubles cardiovasculaires
• des atteintes hépatiques  
• des perturbations neurologiques

Déconseillés chez les femmes enceintes ou allaitantes, les enfants et les adolescents, les produits pour maigrir à base de p-synéphrine sont de véritables bombes à retardement surtout qu’aucune législation stricte n’encadre la vente de ces compléments alimentaires.

Dans ce cas, une couverture médicale efficace est fortement conseillée pour profiter de remboursements élevés des frais de santé en cas de besoins.

Comment perdre du poids sans aliments amincissants ?

 Contrairement aux produits pour maigrir, il existe de nombreux autres recours amincissants plus sains comme :

• avoir une activité sportive régulière
• éviter le grignotage entre les repas
• manger équilibré 
• boire suffisamment d’eau
• rationaliser sa consommation de sucres et de lipides   
• favoriser l’utilisation de fruits et des légumes

De plus, il est recommandé, pour tout ceux qui désir suivre un régime amaigrissant, de consulter un nutritionniste ou diététicien pour éviter toute mauvaise surprise.

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Cancer du sein : Comment se protéger des substances chimiques à l’origine des tumeurs malignes ?

Le cancer du sein est la forme de tumeur maligne la plus fréquente chez la femme.

Les traitements des cellules cancéreuses tels que la chimiothérapie ou l’opération chirurgicale, sollicitent grandement l’organisme.


Dans ce cas, les soins de confort comme les cures thermales ou l’acupuncture, etc. pris en charge avantageusement par les meilleures compagnies actuelles comme SwissLife mutuelle ou ASAF, aident la patiente à se rétablir rapidement.

Cancer du sein : une liste des 17 substances hautement cancérigènes

Le cancer du sein est causé dans la majorité des cas par l’exposition à des facteurs de risque environnementaux.

A ce titre, une étude américaine parue dans la revue « Environmental Health Perspectives » a établi une liste de substances chimiques les plus cancérigènes.

Cet inventaire recense les 216 produits chimiques les plus cancérigènes présentes dans l’environnement quotidien et répartis en 17 groupes hautement prioritaires.

Cette recherche offre une feuille de route prometteuse et permet ainsi aux femmes d’éviter plus facilement leurs exposition à ces produits et par conséquence de  réduire les risques des tumeurs malignes mammaires.

Le cancer de sein a aussi une origine héréditaire où  les prédispositions génétique représentent 5 à 10 % des cas d’apparition de la maladie.

La consultation d'oncogénétique permet de déceler les prédispositions familiales à développer cette forme de cancer.

Ces frais d’analyses et de laboratoire sont remboursés avantageusement par SMAM mutuelle ou AMIS

Cancer du sein : Comment limiter son exposition aux facteurs de risque?

Le cancer du sein peut être causé par une multitude de substances. A moins de pouvoir connaitre la liste des 216 éléments par cœurs et de les éviter au quotidiens, de simple gestes réduisent le risque de développer une tumeur maligne tels que :

• éviter l’exposition aux vapeurs d'essence, gaz d'échappement, etc.
• fuir la fumée de tabac
• réduire son contacte avec les vapeurs de cuisinières
• limiter la consommation d’aliments carbonisés
• respecter les consignes de sécurité en utilisant les solvants, comme le chlorure de méthylène
• nettoyer ses vêtements dans des pressings qui n’utilisent pas le percloroetilène
• supprimer les meubles contenant polyuréthane, présent dans les mousses d'ameublement
• Utiliser un filtre à charbon pour dépurer l'eau avant de la consommer

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Brûlure : qui sont les 9000 personnes hospitalisées chaque année ?

La brûlure est l’un des accidents domestiques les fréquent en France, avec pas moins de 9000 hospitalisations annuelle.

Le risque de brûlures domestique concerne essentiellement les enfants de moins de cinq ans et les adultes de plus de 50 ans.


Les traitements des brûlures génèrent de lourdes dépenses médicales remboursées avantageusement par les meilleures compagnies actuelles comme April mutuelle ou ASAF  

Brûlures : quelle est la population la plus vulnérables face à ces accidents domestiques ?

Les brûlures de différentes origines causent en moyenne, l’hospitalisation  de 13 cas par 100.000 habitants.

Le quart de ces patients sont des enfants âgés de 0 à 4 ans,  souvent atteints à la tête, au cou, au poignet et à la main. Cette prévalence est associée à l’apprentissage de la marche et de l’inconscience face aux différents risques.

La deuxième tranche d’âge qui se brûle le plus est celles des plus de 50 ans avec un quart des hospitalisations. Chez, les adultes les brûlures sont beaucoup plus graves. D’ailleurs, la moitié des cas de décès est enregistrée chez les accidentés de plus de 65 ans.

Suite brûlures, le séjour moyen en structures hospitalière est de 4 jours pour les enfants de moins de 15 ans et d’une semaine chez les seniors. Dans ce cas une couverture médicale efficace comme celles proposées par Covea Risks ou Alptis, est fortement recommandée pour une meilleure prise en charge des frais d’hospitalisation et des traitements de conforts.

Comment réduire les risques de brûlures à domicile ?

Les accidents domestiques font partie du quotidien mais de simples précautions permettent d’en minimiser les risques tels que :

• revoir les installations électriques, les installations à gaz et les cheminées
• ranger les briquets et allumettes hors de portée des enfants
• vérifiez à l'aide d'un thermomètre la température du bain
• mettre les queues des casseroles et autres récipients contenant des liquides ou aliments chauds du côté intérieur des plaques de cuisson
• protégez les radiateurs électriques, plaques de cuisson, fours, corps et tuyaux de poêles  et foyers de cheminées par des isolants isothermes
• ne pas transvaser les produits chimiques hors de leurs contenants

Ces précautions visent aussi bien à protéger les adultes que les seniors et les enfants en bas âge.

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